• Frank Olivier

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  • Commentaires

    4
    Mardi 30 Août 2011 à 19:52

    Merci ma douce Sionie, soignes toi bien surtout et j'espère que la fièvre va tomber. Tu sais ici on a aussi des grippes et même la dengue qui est très très forte, une belle soeur l'a eue, fièvre de cheval, courbatures de partout, elle a mis plus de 15 jours à s'en remettre, mais je sais aussi qu'en métropole les grippes peuvent être très fortes. Toutes mes sincères félicitations pour le mariage de ta fille et plein de bonheur et en famille c'est très bien ainsi. Ne t'inquiètes pas simplement prends soin de toi. Gros bisous mon amie

    BON RETABLISSEMENT

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    3
    zozo10zozo Profil de zozo10zozo
    Mardi 30 Août 2011 à 11:00
    2
    Mardi 30 Août 2011 à 05:48

    Très jolies chansons ma Sionie. Très beau poème que tes amis t'ont envoyé. Je te souhaite une délicieuse journée de mardi, que tous tes voeux se réalisent. Gros bisous ma douce

    L'amitié virtuelle
    N'a pas de distance
    Ni de frontières
    Visage inconnu et imaginaire
    Avec grand coeur,
    Et qui tous les jours
    Se soucie de toi
    Se confie à toi
    Partage ses découvertes
    Te souhaite le meilleur pour toi.
    Le soir venu vient te
    Souhaiter une bonne nuit
    et te dire à demain.........
    Bien souvent le matin, elle est
    La premiére à te souhaiter
    Une merveilleuse journée........
    C'est elle que tu ressens
    Aussi réelle que virtuelle.

    1
    Lundi 29 Août 2011 à 20:22

    bonjour sionie voila un mes poèmes j'espére que tu l'aimera merci bonne fin de soirée a bientôt de la belgique bizzzous


      ""Le jour succède au jour""
     
    En vain le jour succède au jour,
    Ils glissent sans laisser de trace;
    Dans mon âme rien ne t'efface,
    Ô dernier songe de l'amour!
    Je vois mes rapides années
    S'accumuler derrière moi,
    Comme le chêne autour de soi
    Voit tomber ses feuilles fanées.
    Mon front est blanchi par le temps;
    Mon sang refroidi coule à peine,
    Semblable à cette onde qu'enchaîne
    Le souffle glacé des autans.
    Mais ta jeune et brillante image,
    Que le regret vient embellir,
    Dans mon sein ne saurait vieillir :
    Comme l'âme, elle n'a point d'âge.
    Non, tu n'as pas quitté mes yeux;
    Et quand mon regard solitaire
    Cessa de te voir sur la terre,
    Soudain je te vis dans les cieux.
    Là, tu m'apparais telle encore
    Que tu fus à ce dernier jour,
    Quand vers ton céleste séjour
    Tu t'envolas avec l'aurore.
    Ta pure et touchante beauté
    Dans les cieux même t'a suivie;
    Tes yeux, où s'éteignait la vie,
    Rayonnent d'immortalité!
    Du zéphyr l'amoureuse haleine
    Soulève encor tes longs cheveux;
    Sur ton sein leurs flots onduleux
    Retombent en tresses d'ébène.
    L'ombre de ce voile incertain
    Adoucit encor ton image,
    Comme l'aube qui se dégage
    Des derniers voiles du matin.
    Du soleil la céleste flamme
    Avec les jours revient et fuit;
    Mais mon amour n'a pas de nuit,
    Et tu luis toujours sur mon âme.
    C'est toi que j'entends, que je vois,
    Dans le désert, dans le nuage;
    L'onde réfléchit ton image;
    Le zéphyr m'apporte ta voix.
    Tandis que la terre sommeille,
    Si j'entends le vent soupirer,
    Je crois t'entendre murmurer
    Des mots sacrés à mon oreille.
    Si j'admire ces feux épars
    Qui des nuits parsèment le voile,
    Je crois te voir dans chaque étoile
    Qui plaît le plus à mes regards.
    Et si le souffle du zéphyr
    M'enivre du parfum des fleurs,
    Dans ses plus suaves odeurs
    C'est ton souffle que je respire.
    C'est ta main qui sèche mes pleurs,
    Quand je vais, triste et solitaire,
    Répandre en secret ma prière
    Près des autels consolateurs.
    Quand je dors, tu veilles dans l'ombre;
    Tes ailes reposent sur moi;
    Tous mes songes viennent de toi,
    Doux comme le regard d'une ombre.
    Pendant mon sommeil, si ta main
    De mes jours déliait la trame,
    Céleste moitié de mon âme,
    J'irais m'éveiller dans ton sein!
    Comme deux rayons de l'aurore,
    Comme deux soupirs confondus,
    Nos deux âmes ne forment plus
    Qu'une âme, et je soupire encore!
      
        ""CE poème est écrit par  ""ALAIN""


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